Avec une infinie tendresse, un infini respect, un pompier dépose, dans l’herbe, devant la basilique, un morceau du ciel étoilé de Cimabue. A des siècles de distance, il a sans doute ressenti le pouvoir et le mystère de l’art, qui réveille la parcelle divine qu’il y a en chacun de nous.
Du sable, de la chaux, quelques pigments, une parcelle d'éternité par le miracle de l'Art.